C’est sa première carrière en tant que photographe qui a forgé la singularité de son regard de Picture Editor. Diplômée des Arts Décoratifs de Paris en photographie et lauréate d’une bourse d’un an à Cooper Union School of Art de New York, Isabelle Rouvillois commence une carrière photographique à l’international nourrie de rencontres d’exception telles que Thomas Roma, Robert Franck, Nan Goldin... En parallèle, elle travaille à la Pace MacGill Gallery.
De retour en France, elle collabore avec la Galerie du Jour et l’agence Magnum. Sa rencontre avec Marie-Pierre Giffey, cheffe des archives de l’agence Magnum, est déterminante. À ses côtés, Isabelle façonne sa lecture de l’image et son vocabulaire iconographique.
Photographe indépendante pendant dix ans, notamment pour Greenpeace France et Greenpeace International, elle couvre la campagne contre la déforestation en Amazonie, le naufrage de l’Erika, ou encore la campagne contre le retraitement des déchets nucléaires sur le site de la Hague en France.
C’est enrichie de ces expériences de terrain, qu’Isabelle comprend que son engagement photographique aura davantage d’impact en démultipliant les récits. Elle décide de ne plus rester concentrée sur son propre point de vue. Elle devient rédactrice photo en presse magazine, et ce, depuis 20 ans : responsable photo du magazine Alternatives Internationales, freelance entre autres pour le Nouvel Obs, L’Express, Sciences et Avenir... et aujourd’hui en poste à la Gamme anglaise du Groupe Bayard.
Parallèlement à la presse, Isabelle a nourri et continue de nourrir sa passion pour les narrations photographiques dans divers contextes : elle a travaillé six ans en Australie, notamment comme curatrice de projections à Sydney, a été assistante de la Stills Gallery pour Paris Photo, iconographe pour la Art Gallery of New South Wales.
En France, elle a été responsable photo chez Albin Michel, éditeur photo du livre Les Réfugiés climatiques du Collectif Argos, ou encore pour l’agence Picturetank et a fait partie des organisatrices du prix de l’ANI-PixxTrak décerné à Visa.
Elle accompagne les photographes dans leur création : première lectrice de leurs images, elle aide à faire des choix, mettre de côté les doutes, afin que l’écriture se déploie et construise l’œuvre à venir.
||| Les autres membres du jury 2023
De retour en France, elle collabore avec la Galerie du Jour et l’agence Magnum. Sa rencontre avec Marie-Pierre Giffey, cheffe des archives de l’agence Magnum, est déterminante. À ses côtés, Isabelle façonne sa lecture de l’image et son vocabulaire iconographique.
Photographe indépendante pendant dix ans, notamment pour Greenpeace France et Greenpeace International, elle couvre la campagne contre la déforestation en Amazonie, le naufrage de l’Erika, ou encore la campagne contre le retraitement des déchets nucléaires sur le site de la Hague en France.
C’est enrichie de ces expériences de terrain, qu’Isabelle comprend que son engagement photographique aura davantage d’impact en démultipliant les récits. Elle décide de ne plus rester concentrée sur son propre point de vue. Elle devient rédactrice photo en presse magazine, et ce, depuis 20 ans : responsable photo du magazine Alternatives Internationales, freelance entre autres pour le Nouvel Obs, L’Express, Sciences et Avenir... et aujourd’hui en poste à la Gamme anglaise du Groupe Bayard.
Parallèlement à la presse, Isabelle a nourri et continue de nourrir sa passion pour les narrations photographiques dans divers contextes : elle a travaillé six ans en Australie, notamment comme curatrice de projections à Sydney, a été assistante de la Stills Gallery pour Paris Photo, iconographe pour la Art Gallery of New South Wales.
En France, elle a été responsable photo chez Albin Michel, éditeur photo du livre Les Réfugiés climatiques du Collectif Argos, ou encore pour l’agence Picturetank et a fait partie des organisatrices du prix de l’ANI-PixxTrak décerné à Visa.
Elle accompagne les photographes dans leur création : première lectrice de leurs images, elle aide à faire des choix, mettre de côté les doutes, afin que l’écriture se déploie et construise l’œuvre à venir.
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